Afrique et sida



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On parle dans nos pays de quelques milliers de contamination par an et c'est déjà énorme...
Nous savons que là-bas c'est un autre coefficient qui s'impose.
Mais on n'en parle guère, ou "on en parlera plus tard..." dans nos shows, journées, ....thons, ...actions.
Peut-on être objectif, peut-on maîtriser, vaincre une maladie ? en occultant les lieux les plus affectés?

 


LES CENTRES DE L'ESPOIR
cherchent des "partenaires" pour;

Accompagner
Aimer
Aider dans le respect sans juger

Nous aiderez-vous à donner des AILES à ces Centres, à donner foi en l'avenir à des centaines d'enfants?


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Il vous suffit de peu
pour faire que l'espoir ne déçoit pas


Pour obtenir d'autres renseignements :

casenacfr@online.fr
ou par courrier :
CASENAC
11, rue Didier Daurat
93100 - Montreuil sous Bois
France
Tel : 0.668 6 237 08
Fax : 0-1433 649 52

 

L'Afrique et le sida

S'il y eut le temps du déni les Sociétés africaines font aujourd'hui face au fléau avec courage et imagination.

Malgré le peu de moyens, des communautés s'organisent pour l'information, le soin, ou le soutien aux malades et aux orphelins.

"Les Centres de l'Espoir"
est une de ces associations, lancée par des éducateurs, enseignants, soignants, ... du pays, connaissant l'évolution de la situation de l'enfance et de la famille.
CASENAC veut dire qu'il est en Afrique des groupes engagés qui, sans avoir droit à nos show médiatiques, essaient de lutter
à mains nues


Le SIDA n'est pas qu'un des fléaux de santé‚
qui affectent l'Afrique:

Il accroît tous les autres problèmes du continent (santé, économie, éducation, développement) Il a un impact particulier: exclusions, rumeurs et peurs l'escortent; sa prévention suscite des débats nombreux...


"Le sida va miner les économies africaines." (BIT)

La population active sera bientôt décimée par le virus.

Le sida aura un impact dévastateur sur les économies des pays les plus touchés par l’épidémie, indique une étude du Bureau international de travail (BIT). Dans les huit pays d’Afrique où le virus HIV touche plus de 10% de la population adulte, la main-d’œuvre sera, en l’an 2020, de 10% à 22% inférieure à ce qu’elle aurait été dans des conditions normales.
L’incidence de l’épidémie sur le monde du travail s’annonce d’autant plus forte que la majorité des victimes (environ 80%) appartiennent à la classe d’âge 20-49 ans, qui constitue l’essentiel de la population active. Il en résultera une violente déstabilisation sociale : perte de revenus et d’épargne, baisse de la production et, dans un second temps, accroissement du travail des enfants, note le BIT.
En Afrique sub-saharienne, les conséquences démographiques seront sans précédent dans l’histoire récente : en 2015, indique le BIT, la population des 29 pays où le taux d’infection est supérieur à 2% devrait atteindre 698 millions, soit 61 millions de moins qu’en l’absence du sida.
" Le sida affecte et tue la main-d’œuvre la plus productive de notre économie ", constate le président de la Namibie, Sam Nujoma, qui a participé hier à Genève à la réunion du BIT. La Namibie arrive en quatrième position des pays les plus touchés par la maladie (taux de prévalence chez les adultes de 16,1%), derrière le Botswana (22,1%), le Zimbabwe (21,5%) et la Zambie (16,6%), tous situés en Afrique australe.

M.v.B.
TRIBUNE DE GENEVE



Avis aux porteurs du virus du sida
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a mis en garde mardi les personnes porteuses du sida contre les piqûres de phlébotome. Cet insecte vit notamment dans les régions méditerranéennes, où les cas de leishmanioses sont de plus en plus fréquents. Le phlébotome transmet une parasitose. Par un cercle vicieux, le sida et la leishmania (agent pathogène de la leishmaniose) se renforcent mutuellement. La leishmania hâte l’apparition du sida déclaré et réduit l’espérance de vie des personnes infectées par le HIV. Le HIV favorise la propagation de la leishmania.


Survivre au sida en Afrique : un flux d'infos